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  • malouine

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  • histoires concrétées

    l’image fantasmée de la pierre à l’intense travail de mémoire au sein des murs / _ projet architectural, avec L. Mercier en contribution à l'illustration, mentionné et présélectionné par le jury pour exposition.
    Dressé, comme invitation à une nouvelle expérience, un autre parcours, L’Opale - incarnation monumentale de la salle d’exposition permanente du Centre d’Interprétation - constituera ainsi une charnière, par sa vertu de faire rebasculer la composition existante sur la place de l’Hôtel-Dieu. Il sera le point de départ, l’articulation de deux types de parcours possibles jusqu’au Château - l’un Historiquement vrai, l’autre historiquement vraisemblable - qui contrebalancera le poids palpable de l’hospice par l’équilibre visuel des masses, et le poids symbolique du Château par l’érection d’un nouveau récit pour la ville, rendu cohérent par son unité d’apparence minérale. L’édifice majeur du CIAP ne se visite pas a priori. Le Centre joue d’abord de son image minérale forte, qui lui permet de constituer un appel. Il est alors longé par le visiteur qui suit la pente douce du terrain jusqu’aux murs de baies vitrées de l’accueil, laissant apparaître l’image du mur d’enceinte de l’autre côté de l’hospice. Dans ce vaste hall à la hauteur triplée, quelques chefs d’oeuvres lapidaires guident ses pas jusqu’à l’autre extrémité de la pièce. En franchissant une série de seuils, en s’enfonçant un peu plus dans le bâtiment historique, l’usager rejoint l’espace d’exposition temporaire, plus resserré, plus intime. Il peut y faire une halte ou choisir de continuer jusqu’à cette percée profonde, sombre, au fond de la salle ; le long de ce boyau, un contact inédit avec les pierres surprend, puis séduit. Enfin, le visiteur arrive de l’autre côté du miroir : dans la salle d’exposition permanente, où s’offrent à lui les trésors de l’Histoire, des images, des récits de Coucy ; il se sent alors comme s’il avait finalement pénétré la pierre et ses récits de mémoires, tant fantasmés jusqu’alors... [à consulter] [lecture]
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    et ses énergies locales / _ projet de réhabilitation architecturale, conçu en vue du concours Solar Décathlon Europe édition 2017 avec le collectif MADAM, mentionné très bien par le jury.
    L'enjeu de la rénovation énergétique des maisons 1930 trouve son sujet dans les habitants qui y vivent, et nous faisons le pari qu'il y trouve en parti ses solutions - aux antipodes  parfois d'une logique technophile systématique. C'est pourquoi le parti a été pris d'initier notre réflexion depuis les différents usages et modes de vie des ménages afin d'imaginer un accompagnement et un travail solidaire autour de cette réhabilitation. Il s'agit là d'une méthode de travail ; ainsi différents outils ont été créés de manière collective pour structurer ce travail de prospection, soulevant à maintes reprises des pistes de réflexions qui mériteront d'être maturées. Face à l'évidence que la réhabilitation de l’existant ne se fera pas du jour au lendemain, et n’aura pas l’adhésion de tout à chacun dans l’immédiat, cette méthode se veut « permissive » et flexible dans le temps à la fois aux refus de réhabilitation, aux évolutions de ménage et à la fois aux innovations futures. Le projet qui suit tente d'amorcer un engagement sérieux dans le processus de rénovation urbaine initié par la région Nord-Pas-de-Calais qui peut évoluer, changer, s’adapter suivant le contexte : il s'agit de l'envisager avant tout comme un point de départ local dans un processus long de rénovation globale. [à consulter !version provisoire!] [carnet de récits]
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  • textiles équivoques

    _ projet d'installation sensible, co-conçu avec J. Leserre & S. Kurakin, sélectionné pour la direction scénographique. Pavillon renaissance, gare Saint Sauveur, Lille / Septembre 2015 - 17 janvier 2016
    De cette volonté de dévoiler ce qu’il est coutume de cacher par l’architecture, l’idée se poursuit en rendant perceptible les tissus dissimulés dans notre habitat. Si le pavillon renaissance fait face au parvis, sa circulation se veut parallèle au couloir d’entrée du site pour vivre un parcours sensoriel au cœur de l’épaisseur du mur. La conception textile dans le pavillon s’impose comme metteur en scène de ce parcours générateur d’expériences. Plusieurs interventions sont proposées au fil du festival Lille 3000 afin de faire vivre la structure au delà des roulements de manifestations qu’elle accueille, accentuant l’adaptabilité du pavillon - certains rideaux sont amovibles - mais il transforme continuellement le parcours sensoriel. A chaque manteau son propre discours, par le choix de matière, les caractéristiques indispensables, son éventuelle amovibilité, etc. Il s’agit ainsi de désamorcer les préconçus des normes de l’habiter d’aujourd’hui en proposant une immersion kinesthésie inédite. [à consulter]    
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  • les caves d’Arras

     au fil du gabion / _ projet d'aménagement, mentionné très bien par l'enseignant.
    Les caves de la Grande place sont avant tout des lieux de la mémoire de la guerre pour Arras. Cependant, elle ne rappellent pas que le face sombre des combats, avec ses bombardements et les familles réfugiées sous les voûtes, ou encore avec les lits de camps en enfilades. Les caves sont aussi des lieux de fêtes, de cabaret, d’être ensemble à l’insu des autres. Les reconversions des caves ces dernières décennies tendent à retrouver cette gaieté, ce plaisir de se côtoyer en sous-sol. Le dispositif urbain à mettre en place pour accéder aux caves depuis la Grande place doit donc tenir compte de cette ré appropriation festive, et conférer à l’immersion un aspect d’événement, de communion, d’être ensemble dans un même parcours mais au cheminement individuel. [à consulter]
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  • freinésie

    l'incroyable découverte par un aller-retour permanent / _ projet architectural, mentionné et sélectionné par le jury pour exposition à l'ENSA de Nantes.
    Ce projet d’école se veut à l’image de la pédagogie Freinet : il s’est enrichi grâce à des séries d’aller-retours entre le site de Trentemoult, empreint des qualités physiques et esthétiques, et une image rationnelle de l’enseignement universel. Il s’agit de dessiner le projet comme l’enfant aime apprendre : l’expérimentation avec ses mains provoque en lui l’envie de comprendre, et de fait ce qui lui est inculqué lui permet d’appliquer des pensées théoriques sur son terrain d’apprentissage en retour. Pour retranscrire architecturalement ce processus, il fallait imaginer une infrastructure capable d’inciter à effectuer ces allers et retours entre pratique et théorie. Les qualités du site à toutes ses échelles se révèlent alors grâce aux besoins spécifiques d’une telle pédagogie (classes extérieures, grande cour existante, potagers expérimentaux, bâtiments réinvestis...) et en même temps, la fréquentation effective du lieu invite à créer un grand espace couvert, qui transpose une trame sur le site et génère l’épine dorsale du fonctionnement de l’ensemble scolaire. L’expérience prend alors tout son sens dans le cheminement, propre et volontaire, depuis la trace à la «Halle» par le fil de la trame. [à consulter] [cahier technique]
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  • illuminations

    _ scénographie d'exposition sélectionné pour la direction scénographique. Illuminations, Trésors enluminés de France ‐ Jan Fabre. Palais des Beaux-Arts, Lille / 8 novembre 2013 ‐ 10 février 2014
    « Constellation » , le mot s'imposait à tous comme une évidence. Nous redoutions cependant qu'une interprétation trop hâtive et stéréotypée de cette image - illusoirement fixe et plane du ciel étoilé - ne rende confuse l'expographie dans son entièreté, qui se matérialiserait alors par un amalgame obscur d'œuvres dispersées au sein d'un espace vide, dont l'insaisissable hiérarchie relèverait alors du mystère. Il nous fallait réorganiser cette constellation, y mettre de l'ordre, articuler avec cohérence espace d'exposition et œuvres présentées. Autrement dit, par le biais de la recherche d'une mise en scène, nous nous devions de faire apparaître toutes ces étoiles sous des angles nouveaux, analytiques et thématiques, mais aussi sensibles, à travers un parcours volontairement séquencé du visiteur. Il s'agissait de faire en sorte qu'après avoir franchi un seuil marqué, le visiteur traverse la salle, gravitant entre les œuvres regroupées par thématiques; puis rejoigne la scène, l'arpentant du corps dans sa longueur, découvrant sur le chemin tant de petits trésors et d'œuvres précieuses alignées ; jusqu'à prendre finalement la mesure de la globalité de la mise en scène, et par sa propre exploration dans l'exposition, devenir acteur lui-même de l'envers du décor de ce théâtre stellaire. / " La quête sensible d’un ciel sous terre " En s’extrayant de l’espace volontairement oppressant dans la direction de ce phare, le visiteur est soudainement immergé dans l’entièreté de l’exposition. Animée de points de lumières singuliers, alternées de mouvances obscures créées par les ombres d’autant d’archéologues de fortune que d’ œuvres projetées au mur, l’ensemble apparaît relever d’une atmosphère mystérieuse qui invite à l’exploration la plus méticuleuse, au cheminement le plus insolite... Le parcours fait parvenir jusqu’à l’estrade, le long de laquelle le visiteur découvre d’une vision nouvelle quantité de petits trésors aux détails infinis. C’est en relevant la tête, s’extrayant de la contemplation nourrie pour ces orfèvreries précieuses, que son regard embrasse alors l’entièreté de l’exposition, qui s’offre à lui dans toute sa richesse et toutes ses dimensions. [à consulter]
    • Plan général cote et legende consultable sans échelle 17_08v
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    • Microsoft Word - couv Version Jan Fabre sans titres expo
  • l’esplanade d’amiens

    _ projet architectural, mentionné et sélectionné par le jury, exposition à la MAA.
    Le site consacré au projet se révèle comme étant à l'intersection de trois échelles qui coexistent: l'échelle de la ville, entre la cathédrale et le parc St Pierre, l'échelle du quartier, notamment St Leu qui abouti ici, et enfin l'échelle de la parcelle, à la matérialité et jeux de niveaux très présents, ainsi qu'un rapport particulier à l'eau. Le projet était l'occasion d'offrir un point de connexion entre ces trois échelles, en faisant correspondre chaque programme par rapport à l'échelle qu'il interroge. Ainsi, le passage, la traversée s'adresse à la ville, en s'inscrivant dans le cheminement entre cathédrale et parc, parsemé d'une exposition d’œuvres sur des cimaises porteuses, qui soutiennent l'équipement. Ce dernier, qui recueille les habitants du quartier depuis la rue Dame Jeanne, leur propose de nouer de nouveaux liens en se mettant en légère apesanteur, dans une «boîte aux merveilles» aménageable aux possibles. Enfin, l'accès au logement s'inscrit dans le site, en longeant doucement l'eau puis en s'enfonçant dans le sol, afin de retrouver son intimité propre. [à consulter]
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